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rien fait pour aider. @§fin%enhW%£g1 y a 1e bata11on Mackenzie- Papineau dont on a par1é. 11 y a 1250 hommes qui sont a11és com- battre du coté des répub1icains. Mais i1 y a p1us que ga. I1 y
a aussi ce comité d'aide 3 1'Espagne démocratique qui effective- ment aidait 1es gens qui venaient faire des tournées de propagande, d'information sur ce qui se passait en Espagne. I1 y a des fonds qui ont été recuei11is E cette occasion./
. R er :/,Et\gour”Tewpfofét.de’BeLhune,.
1.. 1 ,"j’x.r"
flrg:§:Dgfoch§n:”“Bu$s Ei puma i1 y a 1e projet de Norman Bethune,
ce médecin montréa1ais dont a oar1é M. Ryerson. Bethunejqui était un homme de gauche engagé, est a11é en Espagne en '36 pour mettre
sur pied une espece d'unité de transfusion de sang qui a connué une
certaine cé1ébrité, qui a rendu des services. Et ensuite i1 y a
eu d'autres ambu1ances qui ont été achetées par des fonds canadiens. Et comme 1e faisait remarquer aussi M. Ryerson, quand on par1e de
ces éanadiens qui sont a11és combattre, i1ha bien mentionnéfl§fig1o— phonestlfifi c'est un fait remarouab1e que d$%s‘ces ang1ophon%§3“_#” c +rm, 1'1 y en avait qui étaient des ¥Mn1andais, qui étaient des Ukrainiens, qui étaient
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d'origine fin1andaise, d'origine ukrainienne, djorigine,russe, hongroise, comme~¥L44Muufiomné, des gens quij%“E5hs§”E€ 1eur origine étaient davantage sensibi1isés aux prob1émes européens.
I15 étaient p1us motivés, p1us mobi1isés. Mais je pense que 1a droite au Canada; gn,t6utQc@s ne semb1e pas avoir aidé directement 1es franquistes, sauf si on se rep1ace dans une prob1ématique comme ce11e de M. Ryerson, du capita1isme internationa1. La i1 y a peut— étre des ramifications, mais directement 1a droite a été assez passive. PounwmoiwenMtouL~easT~¢uand~ie"regardeW§a?Wc*€tait“une
croisade symboliquey symbo1ique de 1a droite et”i1s“n*avaient-pas
1'intention d*a11e?“se“BatfFEWEn“E§fiagneV